Ils foulent le Clavel que carmine l’Espoir, Le
Ils foulent le Clavel que carmine l’Espoir,
Le long furet esprit évitant les misères ;
Se drapent de mépris, annihilent les soirs,
Quand les yeux incisifs ensorcelaient naguère.
Nous devions embraser la surface des eaux,
Au suprême défi des forces incendiaires,
Le signet prétentieux de soi-disant vicaires,
Lacèrent jusqu’ au tréfonds les âmes légendaires.
Passez votre chemin, Vous, qui croyez bien faire,
Répandant le pur rêve, illuminant la Terre,
Les portes ne s’entrouvrent jamais
Qu’aux apôtres benoits ne sachant que se taire.